La jaquette
Dans le cas d’un livre à couverture rigide, une jaquette permet néanmoins d’illustrer l’ouvrage à la façon d’un livre à dos carré collé.
Il faut alors prévoir d’élargir la surface de celle-ci, de part et d’autre afin de réaliser deux rabats qui recouvriront plus ou moins les deux couvertures rigides. Les rabats pourront comporter des illustrations ou des renseignements supplémentaires, etc.
Toutefois, compte tenu de la grande dimension de la jaquette, son impression en numérique risque d’être délicate, voire impossible à réaliser.
(voir réalisation de la couverture)
Les pelliculages
• Le pelliculage brillant avive les couleurs des couvertures. Il n’est pas pour autant réservé aux seules couvertures illustrées.
• Le pelliculage mat donne une note plus sobre, classique. Son élégance est à la mode.
• Le pelliculage « peau de pêche », naturellement mat, procure au livre un toucher raffiné, agréablement velouté. Plus épais que les autres, il confère une rigidité supplémentaire à la couverture.
Les vernis
Ils protègent bien les couvertures, mais ne donnent pas une finition aussi flatteuse que le pelliculage.
Mat ou brillant, un vernis peut être « sélectif » et ne recouvrir que des zones particulières de la couverture, procurant des effets spectaculaires.
Le gaufrage
Sur des papiers adaptés, il est possible de créer des reliefs à l’aide d’outils métalliques réalisés pour l’occasion. Dans certaines compositions de couverture, le gaufrage peut, à lui seul, sans recourir à un encrage, assurer la lisibilité du texte embossé. L’effet est souvent somptueux.
Pelliculage, vernis et gaufrage sont des techniques plus ou moins onéreuses et ne sont pas toujours compatibles avec la réalisation de tel ou tel type d’ouvrage. Mais, dans le cas de l’impression numérique, le pelliculage est possible, quelle que soit l’importance du tirage.